Les lunettes Cartier, à porter comme des bijoux
Les lunettes de Cartier sont de véritables pièces de joaillerie et vont donc au-delà de leur fonction première. Leurs montures sont conçues avec une précision minutieuse dans un souci constant de raffinement et de beauté. Dès le lancement de sa première collection de lunettes en 1983, Cartier a su habilement mêler tradition et modernité. La réputation des lunettes Cartier s’est faite grâce à leur qualité et à leur esthétisme. Cependant Cartier a réussi à réinterpréter les codes classiques avec audace. En effet, chaque paire de lunettes est constituée de matériaux nobles tels que l’acétate, le titane et les métaux précieux. Ces derniers permettent à chaque monture d’arborer une élégance intemporelle et une durabilité exceptionnelle. Les lunettes de soleil comme les lunettes de vue sont une véritable invitation à porter un objet unique qui transcende sa fonction première pour devenir un véritable ornement du visage.
Les collections de lunettes iconiques de Cartier
Découvrez les modèles emblématiques de Cartier comme les collections phares telles que Santos, Panthère et Première. Ces dernières allient innovation et sophistication et les montures sont sublimés par des détails uniques :
- Santos de Cartier
Cette collection est inspirée par l’univers de l’aviation et propose des montures masculines en titane ornées de vis. Cela rappelle la célèbre montre Santos de Cartier. Ces lunettes incarnent l’esprit aventurier de la marque par leurs traites audacieux et robustes. - Panthère de Cartier
Les montures ont une forme « œil de chat » dorées et des verres aux teintes sophistiquées comme le rose flash ou le gris moiré. La collection Panthère sublime le regard des femmes. Ces modèles associent créativité et raffinement qui sont des caractéristiques chères à la maison Cartier. - Première de Cartier
La collection est dédiée à l’élégance féminine. De plus, elle joue sur des tons chauds et des montures légères. Ces caractéristiques marient parfaitement sophistication et discrétion.
